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    Bonjour à toutes et à tous,

     

    C'est avec une profonde et sincère tristesse que j'ai appris la nouvelle : Michael est décédé d'une crise cardiaque durant la nuit dernière, à l'âge de 50 ans. 50 ans, c'est trop jeune pour quitter notre monde mais d'une certaine façon, on pourra dire que ces cinquante années ont été bien remplies. Bien remplies déjà par un succès planétaire qu'il a commencé à connaître dès l'âge de 11 ans au sein des JACKSON FIVE et qui a ensuite littéralement éclaté lors de sa phénoménale carrière solo ( le nombre total de ses ventes est estimé à 750 millions ). Il a apporté non pas une pierre mais un énorme rocher à l'édifice du Pop-Rock avec de nouveaux rythmes, la popularisation de nombreux pas de danse dont le célèbre Moonwalk, le nouvel élan qu'il a su donner aux video-clips musicaux. Bref, Michael, c'était un personnage hors du commun, un génie comme il n'y en a seulement qu'une poignée par siècle.

     

    Personnellement, je ne l'ai découvert qu'assez tardivement dans les années 80. Ce fut d'ailleurs sa période la plus prolifique. Il enchaînait les tubes les uns après les autres => Beat it, Billie Jean, Thriller, I just can't stop lovin' you, Bad .... Tous ces tubes, je les ai écouté en boucle. J'ai également été voir " Moonwalker ", film truffé d'effets spéciaux tous plus géniaux les uns que les autres et d'une conception tout simplement géniale. C'est à cette même période que j'ai remonté le temps et que j'ai découvert d'excellents titres des JACKSON FIVE.

     

                                                    

     

    Michael a été un personnage très controversé : - pour ses fans, un ange descendu sur notre terre avec la pureté d'un éternel enfant avec ses dons colossaux pour des oeuvres charitatives, sa très grande sensibilité envers autrui .....      pour ses détracteurs, un être détestable de par sa vie excentrique, ses transformations physiques successives, des moeurs condamnables ...

     

    Perso, je me fiche de tout çà et continuerai à considérer Michael comme un homme qui par son génie, nous a transmis des émotions, nous a fait vivre des instants inoubliables et a révolutionné le monde de la musique. Michael, paix à ton âme et nous comptons sur toi pour faire découvrir le Moonwalk aux résidents du paradis.

     

                                              Michael GREYX

     

      


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    Wait For Me (sortie prévue le 29 Juin), est le résultat de cette révélation et une tangente radicale par rapport aux récents albums de Moby – Last Night, l’hymne aux dancefloors de l’année dernière; Hotel, qui flirtait avec le rock moderne en 2005 ; 18, l’ambiante scintillante de 2002 ; et l’electronica mélancolique de Play, qui marqua son époque en 1999. Libéré de la pression d’avoir à se faire plaisir tout en charmant les programmateurs radio, les journalistes et le département marketing de son label, il a décidé de se passer des studios hors de prix, du matériel de pointe, des contributions d’artistes prestigieux, des teams de graphistes et autres consultants en image qui ont caractérisé quelques-uns de ses précédents albums. « Il y a quelque chose de tellement relaxant dans le fait de tout faire soi-même, et de ne pas essayer d’anticiper les réactions du marché », dit Moby. « Je ne sais pas si quelqu’un aimera ce disque, je ne sais pas si il se vendra, mais c’est tellement bon de faire les choses pour les bonnes raisons, sans se soucier des passages radio ou des ventes – juste faire un disque parce que tu as envie de faire un disque ».



    En effet, cette approche « fait main » se ressent tout du long de Wait For Me, de l’enregistrement à la pochette de l’album. « Un ami à moi a pris les photos », dit Moby. « J’ai fait le graphisme. J’ai fait ce disque dans ma chambre, et je l’ai mixé avec un punk complètement fou qui se perdait sur le chemin du studio chaque soir ».



    Ce « punk complètement fou » est le légendaire Ken Thomas, qui a travaillé avec tout le monde, des Buzzcocks à Wire, Boyd Rice, Chris & Cosey de Sigur Ros et M83. Travailler avec Thomas et faire Wait For Me à la maison ramène Moby à ses racines punk, quand il était membre du groupe hardcore Vatican Commandos au début des années ’80. La musique de Wait For Me a toujours ce caractère enivrant, planant et fort en émotions que l’on connaît chez Moby, mais on détecte tout de même ses influences punk dans certaines chansons. “Mistake“ est un hommage au post-punk émotionnel de Joy Division et Echo & the Bunnymen, alors que le titre éponyme de l’album est une description du désespoir muet inspiré de l’album Damaged de Black Flag.


    Mais le son de Wait For Me puise son inspiration dans une époque plus douce, bien avant le punk, avant même l’aube du rock&roll. « Je voulais faire un album qui soit beau, chaud, ouvert et accueillant, et aussi un peu plus particulier et personnel », dit Moby. « De par la manière dont il a été enregistré et mixé, ce disque n’est pas sensé être grandiloquent. Le problème que j’ai avec les productions d’aujourd’hui c’est qu’elles sont toutes imposantes, agressives, exubérantes et accaparantes. Parfois ça peut être super, mais quand chaque instrument est mixé le plus fort possible et que les voix sont très imposantes, que tout est très vif et qu’il n’y a pas de subtilité, eh bien je n’ai pas envie d’inviter des disques comme ça chez moi. Ils sonnent très bien quand tu es dans une voiture de location et que tu écoutes le Top 50 à la radio, mais les disques qui m’attirent sont des productions très épurées de vieux blues, des disques assez austères et simples. Donc j’avais envie de donner cette austérité à ce disque ».


    Wait For Me a bien cette qualité spartiate, mais c’est aussi un album chaud, intime et convivial. Pour obtenir cette connexion intime avec l’auditeur, Moby a noyé Wait For Me de réverbes et d’effets de stéréo. « Je me suis inspiré des cœurs de “In the Ghetto“ d’Elvis, de “Surrealistic Pillow“ des Flaming Lips et de “I Only Have Eyes for You“ des Flamingos », dit Moby. « Et aussi de eBay, parce que sur eBay j’ai pu acheté plein de matériel merdique qui m’a bien rendu service : des vieilles réverbes, des vieux delays, des vieux amplis, des vieux claviers, des choses qui sont techniquement imparfaites mais qui m’allaient bien ».



    Avec la musique douce, gracieuse et parfois désarçonnante de Wait For Me, Moby s’est efforcé d’éviter cet écueil.

     

    Source de l'article ==> AOL Musique

     

     

    Cliquer ici pour visionner le clip " Pale horses " de MOBY

     

     


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    Julien, quel a été ton parcours jusqu'à la Nouvelle Star ?

     

    Julien DORE: j'ai fait mes études aux beaux-arts de Nîmes, dans le même temps, j'ai formé Dig Up Elvis. D'ailleurs, je continue de jouer avec eux, je les ai retrouvé cet été. Après mes études, j'ai travaillé pendant deux ans dans une entreprise de déménagement, ça me permettait de payer mon loyer tout en répétant de temps en temps. An bout de deux ans, je me suis mis au chômage parce que c'était devenu insupportable. Pour Dig Up Elvis, j'écrivais des trucs dans l'esprit des Dandy Warhols et des Rolling Stones et pour moi, j'écrivais des choses un peu moins énergiques.

     

    Comment définirais-tu ce que tu fais en solo ?

     

    JD: Je ne trouve pas que ce soit aussi structuré et élaboré que de la Pop pure. Je ne cherche pas un équilibre Pop pour séduire. Je me sens plus proche de ce que font Christophe ou Archive par exemple, plus centrés sur les ambiances et les textures, plus cinématographiques dans l'esprit. Pour les textes, c'est important pour moi de me dire qu'il ne faut pas à tout prix aller chercher la rime : ce n'est pas le seul but d'un texte, et il n'y a pas que çà qui fasse sens. Regarde les écrits de Lautréamont par exemple. Moi, je n'ai jamais été dans la posture de l'artiste maudit : je cherche une forme de poésie au premier degré, et je ne vais pas prétendre de me contenter de vendre quatre disques dans ma cave.

     

    Pourquoi tenais-tu à écrire en Français ?

     

    JD: parce que j'ai pensé à des gens comme Benjamin Biolay, Dick Annegarn, Christophe .... Je voulais faire des collages d'images les plus poétiques possible, même s'il y a toujours le risque potentiel soit du décalage à la Dutronc/Gainsbourg, soit de se cacher derrière le cynisme. " Bouche pute " est le premier texte que j'ai écrit en Français: en fait, c'est venu tout de suite. Après en Français, il y a le risque de la posture et de la complaisance: mais je crois que Biolay est super droit, qu'il a une ligne de conduite, et je pense que Murat c'est pareil. Et surtout, je suis sûr que les deux se foutent complètement de ce que l'on pense d'eux.

     

    Comment as-tu choisi les collaborateurs/auteurs de l'album ?

     

    JD: Heureusement, mon Directeur Artistique était d'accord avec moi: je ne voulais surtout pas entendre parler de tous ces auteurs qui te refourguent leurs chansons dont d'autres n'ont pas voulu. Christophe, je lui ai demandé et par chance, il a accepté. David Scrima, je connaissais ses dessins, j'ai découvert ses chansons, et je lui ai demandé. Babx, je ne le connaissais pas, mais apès avoir découvert son disque et la force de ses textes, j'étais admiratif. Cocoon, j'avais aimé leurs demos et leurs concerts, Marc m'a proposé deux titres. Quant à Edith Fambuena et Doriand, ce sont des connaissances, ils m'ont proposé une chanson qu'on a retravaillée ensemble.

     

    As-tu peur que ton album soit plus télécharge illégalement que légalement ?

     

    JD: Quand je vois tout ce consortium d'artistes qui montent au créneau contre les " pirates ", j'ai envie de rire : moi aussi, je téléchargeais des albums, mais je me damnais pour ceux qui avaient de vraies belles pochettes, des éditions limitées, comme Beck, Girls in Hawaii, Syd Matters ..... Ils n'ont qu'à faire de beaux objets, s'ils veulent vendre des disques. Je fais super gaffe à mon album, ce sera un triptyque, très travaillé, et je soigne mon clip que je co-réalise aussi. Excitant !!! 

     

    Merci pour cet article à STAR N°1   


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  • C'est dans le salon d'un hotel Parisien que Tokio Hotel recevait la presse. Eh oui, à l'instar des stars Hollywoodiennes, le groupe Allemand organise désormais des conférences pour satisfaire les demandes de journalistes de plus en plus curieux ....

     

    Alors, Bill et Tom, comment s'est passé votre 18ème anniversaire ?

     

    Tom Kaulitz : On a fait plein de choses interdites ...

    Bill Kaulitz : Oui, on a pris un bain ensemble. Non, je plaisante ..... on a surtout fait une super fête avec nos amis les plus proches. L'idée, c'était de faire une nuit au Casino car il faut attendre d'avoir 18 ans pour jouer. Nous sommes tous venus en smoking et nous avons joué. A minuit, nous sommes allés dans un ice bar et nous avons beaucoup bu ..... du jus de pomme, bien évidemment !!

     

    Quel souvenir gardez-vous du concert que vous avez donné à la tour Eiffel ?

     

    Tom : c'était incroyable car la tour Eiffel est un symbole cool. D'ailleurs, cela fait longtemps que nous avons envie de déjeuner au restaurant de la tour. On veut de nouveau lancer ce message : si les propriétaires veulent nous inviter, ça nous va ! Pour en revenir au concert, c'était une journée inoubliable. Le temps était magnifique, la foule était immense, nous avons pris un grand plaisir à jouer pour ce public.

     

    Et votre concert en Angleterre ?

     

    Bill: beaucoup de gens nous ont dit que ce serait difficile de percer en Angleterre. Le concert s'est très bien passé, c'était la première fois que nous jouions nos chansons en Anglais sur scène. Les fans avaient l'air super heureux  et je n'ai pas eu de remarque quant à mon accent, ce qui est tout de même étonnant ! Je me rappelle que sur la scène, il faisait très chaud.

    Tom: c'est difficile pour Bill d'avoir trois versions dans la tête. Un coup, on joue en Allemant, un autre en Anglais, un autre en Français.

     

    Etes-vous parfois dépassés par l'engouement que vous provoquez ?

     

    Bill: je m'en rends vraiment compte quand je vois les titres dans les journaux. Parfois, j'ai du mal à réaliser que c'est de nous qu'on parle. Quand je pense qu'il y a 2 ans, on se produisait dans des petits clubs, on se dit que tout va très vite. On se demande où cela va aller, comment ça va continuer. C'est tellement chaotique que, la veille du concert,  nous ne savons pas toujours où nous allons jouer.

     

    Quand un centaine de fans se trouvent devant votre hotel, que faites-vous ?

     

    Tom: par exemple, aujourd'hui, je leur ai fait signe de ma chambre, donc ils m'ont vu. Evidemment, nous sommes contents d'avoir tous ces fans. Il faut dire que c'est la faute des journalistes si on ne peut pas signer tous les autographes car nous passons l'essentiel de nos journées à Paris à répondre aux interviews. Si vous voulez survivre, ne de dîtes pas aux fans quand vous les croiserez. C'est important de récompenser nos fans car nous n'avons en général, pas beaucoup de temps à leur accorder.

     

    Quel souvenir gardez-vous en tant que T.H aux Etats-Unis ?

     

    Georg: Ce n'était pas un voyage de promotion mais un voyage privé pour découvrir New-York.

    Bill: c'était génial, car c'était la première fois depuis 2 ans, que l'on se promenait dans une ville sans que personne ne nous reconnaisse. On avait une sale mine, personne ne s'en occupait. Nous avons pu nous ballader et nous détendre. Bien sûr, nous espérons revenir plus tard pour donner des concerts.

     

    Avez-vous des rituels avant d'entrer sur scène ?

     

    Oui. Une heure avant le concert, nous nous isolons dans une loge. Personne n'a le droit d'entrer, nous sommes juste tous les quatre. On maîtrise notre nervosité pour garder l'énergie nécessaire au show. Gustav reste souvent dans son coin à écouter sa musique. Nous trois essayons de canaliser notre trac. On pourrait croire que, avec l'habitude, la nervosité est moins importante, mais ce n'est pas le cas.

     

    Sur cette tournée, avez-vous eu l'occasion d'avoir une vie sentimentale ?

     

    Tom : attendez, il faut que je compte ....

    Bill: Pour être franc, durant les deux dernières années, je n'ai pas eu de copine. Pas d'histoire d'une nuit ou de relation suivie, rien. Je suis quelqu'un de plutôt sérieux et, quand je dois consacrer le peu de temps qu'il me reste à quelqu'un, je veux que ce soit une personne importante. Quand je tombe amoureux, il faut que ce soit à fond.

    Tom: Le problème pour moi, c'est que je tombe toujours trop vite amoureux et que ça s'arrête trop vite.

     

    Quels albums écoutez-vous en ce moment ?

     

    Georg: En ce moment, j'aime bien une chanson qui s'intitule " Bubblie ". Je ne crois pas qu'elle soit sortie en France.

    Bill: on déteste tous les trucs éphémères qui ne durent qu'un été, donc on en revient toujours aux classiques: Oasis, The Beatles, Race Against The Machine .....

     

    Que pensez-vous de toutes ces rumeurs qui circulent sur votre compte, comme celle qui veut que Bill soit gay ?

     

    Bill: il y a tellement de choses qui sortent sur nous. Cela ne sert à rien de démentir car nous n'aurions pas fini. Récemment, je lisais dans un magazine que j'aurais essayé de me suicider ! Je lisais que j'étais passé tout près de la mort alors que j'étais tranquillement chez moi. C'est très étrange ...

     

    Des rumeurs circulaient avant cette conférence de presse quant à la composition du 3ème album; on parle de début 2009 ...

     

    Bill et Tom: ce ne sont que des rumeurs ..... Nous avons fini la tournée début Novembre et nous allons faire quelque chose que nous aimons: prendre des vacances !! Chacun part de son côté et se fait plaisir pendant ces quelques semaines. Nous le faisons chaque année et, jusqu'à présent, nous n'avons pas eu l'occasion de le faire. 

     

    Et cette nouvelle tournée Européenne en Février-Mars? on raconte que le groupe sera de retour pour 4 ou 5 dates Françaises .....

     

    Bill: en général, je ne sais déjà pas ce que nous allons faire le lendemain, alors, dans les prochains mois .....

     

    Merci pour cet article à STAR N°1

     

     

     

      

     


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    C’est au micro de la radio Live 105 que Lars Ulrich, le bruyant batteur emblématique de Metallica a déclaré : « ne pas être fâché de voir leur nouvel album « Death Magnetic » déjà dispo sur le net plus de 8 jours avant sa sortie officielle ».

     

    Durant une ITV sur une radio de San Francisco Lars Ulrich a carrément lancé : « Si ce truc se retrouve sur le net partout autour du monde aujourd’hui ou bien demain, ce seront des jours heureux. » Puis il a ajouté, un brin fataliste : «  Nous sommes en 2008 et ça se passe comme ça de nos jours. On n’est pas fâché ! » Et cette fois, selon la BBC la fuite serait originaire de notre territoire national. Un internaute aurait pu se procurer l’album dans une boutique avant de le diffuser sur le net (sic !). un peu tiré par les cheveux comme histoire !

    <o:p></o:p> 

    En 2003, Metallica avait déjà décidé d’autoriser le public à télécharger leur musique sur internet, trois ans après avoir pourtant mené un violent combat contre Napster.

    <o:p></o:p> 

    La sortie officielle de « Death Magnetic » est maintenue pour le 12 septembre et le groupe sera sur la scène du 02 Arena de Londres le 15 septembre après avoir offert la veille le 14 un show intimiste à leurs fans dans un lieu tenu secret ….. pour le moment !

     

    <o:p>Gérard BAR-DAVID / Hitmusemag.com le 5 septembre 2008</o:p>


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