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Par Petitfilou1 le 7 Mars 2012 à 20:58Je ne sais pas si ma musique a eu la vertu de vous faire bouger mais en tout cas, elle a eu la vertu d'inspirer à mon amie HEIDI, un texte sympa, très circonstanciel, qui vous permettra j'en suis sûr, de mettre des images sur mes notes. Je vous laisse le découvrir .....Bustier compact,
Poitrine saillante,
Shorty à paillettes
Silhouette charnelle et sensuelle,
Elle danse.
Puissance et
Chaleur des halogènes,
Fumées épaisses et multicolores,
Son corps est en transe.
L’exaltation envahit son corps
Perlent les gouttes sur sa plastique
Sculpturale
À réveiller un mort.
Da Musik,
Da Musik,
Résonnent les sons
magnétiques
Atmosphère psychédélique,
Elle danse.
Glissent ses mains
Sur son corps mutin,
Mégamix
Autour d’elle
S’excitent les hommes
Qui s’agglutinent autour d’elle.
Reine de la dance floor
Elle danse,
Ses sens en ébullition
Balance ses formes
Aphrodisiaques,
Jusqu’à la fin de la nuit."Da musik" Music - Michael de Vaux / texte - Heidi Copyright Mars 2012DA MUSIK - Michael de VAUX
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Par Petitfilou1 le 4 Mars 2012 à 10:18
Il y a plusieurs jours, j'ai publié sur Music Crossroad, une musique intitulée " HEIDI'S GREEN EYES " , inspirée des jolis yeux couleur océan de mon amie Heidi. A qui d'autre pouvais-je dédier cette musique, qu'à la propriétaire de ces jolis yeux ? En retour, Heidi a écrit un poème inspirée de ma musique. Qui d'autre qu'elle pouvait avoir les mots qu'il faut pour traduire le thème que j'avais développé dans ma musique ? Je vous laisse découvrir ces mots .... Bien amicalement,
Michael de VAUX
Graphisme réalisé par HEIDILES YEUX VERTS D'HEIDI
Vie étrange,
Monde insolite
Où flottent des âmes baroques
De son passé,
Son corps marqué,
Douleur indélébile,
Elle rêve.
Rêves oniriques,
Monde sans abomination,
Ses yeux verts,
Couleur espérance,
Miroir du passé,
Elle s’évertue à oublier.
Des voix psychédéliques,
Hurlent dans le noir,
Des voix apaisantes
Dégagent ses cieux nébuleux.
Mélange antinomique,
Proche de l’enfer,
Proche du paradis.
Ses yeux couleur de l’océan,
Son cœur d’enfant,
Son sourire câlin,
Ses moments de délire,
Folies passagères,
Elle se débat,
Avec force et ténacité,
Elle se débat,
Contre ses démons belliqueux,
Elle rêve d’un monde utopique,
Où l’arc-en-ciel du bonheur,
Est éternel.Texte d'Heidi Copyright Mars 2012
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Par Petitfilou1 le 12 Février 2012 à 19:19Graphisme réalisé par HEIDI
Bonsoir,
Nous avons tous remarqué qu'à son écoute, la musique déclenche en nous des images, des pensées, qu'elle exacerbe nos sentiments, qu'elle nous parle, qu'elle nous raconte une histoire. Cette histoire, nous l'imaginons en fonction de notre potentiel émotif, culturel, ethnique ..... Aussi, une musique peut-être ressentie de mille et une façon.
Une preuve flagrante : bien qu'ayant composé l'une de mes musiques suite à une fréquentation soutenue des hôpitaux pendant de longs mois durant l'année 2006, d'où son titre " Visit to an hospital ", mon amie HEIDI dans l'un de ses commentaires, m'a dit tout de go, qu'à l'écoute de ma musique, elle ne se sentait pas dans les couloirs d'un hôpital mais dans un endroit très différent. Je lui ai alors demandé où elle pensait être. Plutôt que de me répondre par message, elle a préféré laisser libre cours à sa pensée dans l'écriture d'un texte que je vous laisse découvrir.
Ce texte m'a offert une toute autre vision de ma musique et m'a paru très plausible ( parfaitement synchrone par rapport à l'articulation du morceau ), à tel point que si j'avais fait plus tôt la connaissande d'HEIDI et lu son texte, j'aurais très bien pu intituler ce morceau " Urban breakdown " ou quelque chose de ce genre.
Cauchemar psychomoteur
Heure d’affluence,
pourquoi courent-ils tous?
Nuages de Co2,
brume anesthésiante.
Foule en folie,
pas cadencés,
dérive des sens,
monde étrange,
pourquoi courent-ils tous?
Ma tête tourne,
mon coeur s’emballe,
j’ai peur,
un homme me bouscule,
ma tête tourne,
les murs de béton s’écroulent sur moi
comme des châteaux de cartes,
j’ai mal,
pourquoi courent-ils tous?
Mes yeux se ferment,
une voix étrange me parle,
tout devient sourd,
tout s’assombrit,
l’inconscience me gagne
étendue sur le sol,
j’agonise.
Ils courent tous,
pas cadencés,
personne ne me voit,
ils courent,
aveugles et sourds,
folie d’affluence,
monde de décadence,
ère étrange.Texte d'Heidi Copyright Janvier 2012
Lien pour écouter ma musique, source d'inspiration de ce texte
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Par Petitfilou1 le 15 Avril 2010 à 18:11
Constatant lui-même, l'ampleur du désastre
Et cédant à un instant de panique, de lucidité
Il implore longuement les astres
Leur demandant qu'ils ôtent la Princesse de ses pensées
Quelques jours durant, son profond trouble semble s'apaiser
Quand soudain, le joli visage de Sheherazade lui réapparaît
Il lutte, tente de résister mais, en vain
Il prie la divinité de l'amour en joignant ses mains
Comme la première fois, elle vient
Lui rappelle les termes du contrat
Et François-Michael, une nouvelle fois
De celle qu'il désire, se retrouve dans les bras
Cette deuxième fois, l'étreinte est moins fougueuse
Mais Ô combien tendre et langoureuse
Soudain, surprenant chez Sheherazade, un regard un peu trop compatissant
Très vite se ressaisissant, il déclenche le processus dans sa cellule le rapatriant
Cette fois-ci, bien que plus prudent
Dans le temps, il vient encore d'avancer de quinze ans
Vieilli et affaibli, il ne tarde pas à rendre l'âme
Il est mort pour l'amour fou qu'il vouait à sa belle dame
De par une fulgurante ascension, il est amené
Non pas, devant sa bien aimée, dans le palais des mille et une nuits
Mais, en présence de Saint Pierre, gardien du Paradis
Oui Saint Pierre, de qui il va apprendre la triste vérité
La triste vérité est que la divinité de l'amour
Qu'il avait par deux fois imploré
Etait en fait matérialiste et intéressée
Moyennant de somptueux émoluments
Le marché qu'elle concluait avec le Prince charmant
Pouvait parfois être plus clément
Ainsi, avec le fils d'un riche marchand Italien
Et celui d'un influent seigneur Byzantin
Dont les pères avaient promis entretien et construction
De temples consacrés à sa vénération
Elle avait accepté de très favorablement aménager
La clause qui, à la vie de François-Michel, avait tant coûté
Ramenant l'équivalence à une minute pour une journée
François-Michel, stupéfait et courroucé
D'avoir été si cruellement abusé
Se sent submergé par une incommensurable rancoeur
Et pour la deuxième fois, meurt.
Michael GREYX
Tous droits du propriétaire de l'oeuvre réservés. Vous pouvez consulter ce texte sur Le Carrefour des Mix ou bien encore le télécharger pour un usage personnel. Sauf autorisation de son auteur, la duplication, l'utilisation ou la diffusion de ce texte à des fins commerciales sont interdites.
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Par Petitfilou1 le 13 Avril 2010 à 13:16
N'hésitant pas un seul instant
François-Michel signe le contrat
A l'aide d'une plume, et son sang
A peine a-t-il signé, qu'il se sent transporté
Dans un lieu où il va enfin rencontrer
Sa Princesse, sa bien-aimée
Une fois le vertige passé, il entr'ouvre les yeux
Sheherazade est là devant lui
Parée de ses plus beaux atours
Dans une immense chambre à demi ouverte sur les cieux
Et un impressionnant silence autour
Le regardant très doucement,
L'un après l'autre
Elle enlève lentement et élégamment
Tous ses vêtements
Surmontant le tumulte qui est en lui
Dans ses bras il la prend et
L'embrasse passionnément
Perdant toute notion du temps
Au petit matin, il s'éveille
Sheherazade, encore endormie, est blottie dans ses bras
Alors, il l'embrasse une dernière fois
Et pour le voyage retour
Claque dans ses doigts
Passé la sensation de tourbillon
Le voilà de retour, parmi ses compagons d'armes
Eux aussi, en prison
Ils le regardent, inquiets, surpris
D'au moins 30 ans, il a vieilli
( 3ème partie et fin les jours prochains )
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