• Cover album réalisé par Izi monnaie

     

    Contenu de cet album :  1- Emotions   2- Hybrid electro   3- The pianoman   4- Toxic smoke 

    5- Song for Jessica   6- Stay or go

     

    Je poste aujourd'hui les 6 titres que j'ai récemment composés, groupés sous un album intitulé HYBRID    ELECTRO. Pourquoi HYBRID ELECTRO ?  Et bien, parce que les 6 musiques ci-dessus sont assez " hybrides ". Elles comportent beaucoup de sons électroniques mais également du piano. La pochette est d'ailleurs très représentative :  le clavier d'un synthé et la petite danseuse représentant la musique Electro Dance. Plusieurs de ces titres ont été composés dans l'esprit des débuts de la musique Electronique ( un petit coup de nostalgie ).

    Je tiens à préciser que j'ai été aidé dans mon inspiration par une charmante jeune femme ( membre de la communauté KAZEO ). Un des titres fait même référence à son prénom. Je l'en remercie infiniment. Bien amicalement,   GREYX 

     

     


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  • Il m'arrive d'admirer certains bloggeurs qui ont des centaines d'Amis. Bien que mon blog soit en ligne depuis plusieurs années, je n'ai que quelques dizaines d'amis. Alors, je pousse un peu plus loin la réflexion et je me dis que je suis entièrement responsable de cette situation. En effet, jusqu'alors, j'ai toujours voulu agir comme je le fais dans ma vie '' physique '' ( par opposition au monde '' virtuel '' du Web ). Je préfère la qualité à la quantité. J'aime entretenir via mon blog des relations suivies avec eux: conversations, commentaires ( parfois un peu longs, je m'en excuse ) coups de main …. enfin bref, de vraies relations en opposition avec un côté '' superficiel '' que je note chez certains bloggeurs. Cette superficialité dévalorise la '' relation '' et finit par épuiser. Ces derniers jours, j'ai lu un article qui m'a conforté dans mon opinion : 

    Le professeur Rubin Dunbar, de l’Université d’Oxford, vient contrarier quelque peu l'idéologie des inconditionnels des blogs et des réseaux sociaux ( Facebook, MySpace, Twitter …. ). Le scientifique vient de rendre les conclusions de son étude sur les groupements sociaux à travers les siècles. Celle-ci s’attarde sur le phénomène blogs et réseaux sociaux, et démontre qu’il est impossible, pour le cerveau humain, d’entretenir un lien social avec plus de 150 amis, quel que soit le niveau de sociabilité.


    Selon lui, le néocortex, zone du cerveau qui gère la pensée consciente et le langage, serait responsable de cette restriction. Il n’y aurait donc aucune différence entre les membres qui posséderaient des milliers d’amis et ceux qui n'en auraient "que" quelques centaines.


    D’autre part, les femmes seraient plus douées pour les relations sociales sur les blogs et réseaux sociaux que les hommes. Ces messieurs auraient en effet davantage besoin de se rencontrer physiquement pour maintenir le contact.
     

    Les conclusions du Pr. Dunbar, qui devraient être publiées cette année, sont attendues par les psychologues qui souhaitent prévenir les utilisateurs des effets néfastes de ce phénomène. Ce dernier serait, en effet, à l’origine de conduites addictives et causerait un sentiment d’insécurité chez certaines personnes.
     

    Cet article n'est en aucune façon, une critique adressée à l'encontre de certains bloggeurs. Peut-être ont-ils un coeur plus grand que le mien? Peut-être ont-ils de plus grandes capacités que moi pour gérer leur immense cercle d'amis? 
     

                                                Bien amicalement, GREYX


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    Cet article pour rendre à Cesar ce qui lui appartient. En effet, on considère qu'un pays est tombé sous la coupe des Etats-Unis lorsque ses jeunes commencent à porter des Jeans et boire du Coca ( c'est à peine caricatural ). Or, ces produits " fers de lance " des Etats-Unis, sont en réalité Français !  ça prête à réflexion ....

    Les Etats-Unis ne sont pas seulement les plus gros consommateurs du monde, ce sont aussi les plus gros producteurs. Ils hébergent donc les sièges des entreprises les plus puissantes. Les statistiques sont impressionnantes. Les compagnies automobiles génèrent des bénéfices plus importants que l’ensemble des Produits Nationaux Bruts (PNB) de tous les pays d’Afrique sub-saharienne réunis. Ces bénéfices sont réinvestis dans la conquête de nouveaux marchés. Et par conséquent, les produits américains, et les symboles qui leurs sont associés s’enracinent dans le quotidiens des personnes vivant hors des Etats-Unis.

    C’est flagrant en Europe. En se promenant dans la rue, nous sommes entourés de marques américaines: de la Visa de notre portefeuille au Big Mac dans notre main. Une grande part des émissions de télévisions, des disques, des vêtements ou des logiciels que nous consommons sont importés des Etats-Unis, de même qu’un grand nombre de slogans anglophones. Les langues adoptent de plus en plus d’américanismes : on « achète un cheeseburger » à Paris ou on « dricka en Milkshake » à Stockholm. Malgré les tentatives de l'Académie Française pour freiner cette invasion culturelle, préférant « baladeur » à « walkman » ou « Mercatique » à « Marketing », ou l'action du Gouvernement Français pour imposer un pourcentage minimum de chansons de langue française à la radio, il est impossible de lutter contre la toute puissante culture linguistique américaine. 

    L’omniprésence de la culture américaine en Europe n’est pas la seule raison de l’antipathie que ressentent les Européens à l’encontre des produits et de la culture américaine. Ces importations enrichissent aussi notre vie quotidienne. L’anti-américanisme provient plutôt du fait que l’échange culturel n’est pas réciproque. La culture américaine envahit nos vies, mais du fait de leur puissance, les Etats-Unis se suffisent à eux-même et n’ont aucun besoin de la culture européenne. L’Histoire nous enseigne comment la domination peut susciter le ressentiment, comme le démontre les sentiments passés à l’égard des Empire romain et napoléonien, ou plus récemment, du colonialisme britannique. L’hégémonie culturelle américaine ou la « coca-jean colonisation » de la culture européenne au travers du vocabulaire expliquent les raisons de cette hostilité grandissante à travers l’Europe. 

    La perception européenne de la culture américaine est paradoxale - nous profitons tous des petits plaisirs de ces choses, même si une consommation trop poussée de ces produits pourrait nous amener à renier notre histoire ou nos traditions. 

    Il ne peut en être ainsi tant avec le Jean que le Coca-cola ( produits " fers de lance de l'Amérique ) qui, à l'encontre de toutes idées reçues, sont bel et bien d'origine Française:

    • Le jean, appelé aussi " blue-jean ", a été créé par Oscar Levi Strauss à la fin du 19e siècle à partir d’une toile en coton fabriquée à Nîmes et appelée "Denim" (denim = de Nîmes). Cette toile teintée en bleue était également appelée " bleu de Gênes ", car elle était utilisée à Gênes depuis le 16e siècle pour la confection des pantalons de marins.
      Le terme français " bleu de Gênes " a donné par déformation le nom " blue-jeans " ( même prononciation que Blue Genes ).

    • C’est un Français et un corse de surcroît ( Ange Mariani ) qui est à l’origine du Coca Cola. En effet, Ange Mariani a été l’inventeur d’une boisson nommée Vin Mariani qui a été copiée par beaucoup de pharmaciens avec et y compris, John Styth Pemberton, l’inventeur officiel de Coca Cola.


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    Je viens de terminer un clip sur lequel je bossais depuis quelques jours. Le titre en est " Hybrid Electro ". J'ai le sentiment que c'est réellement le premier qui peut porter l'appellation de " clip ".

    Cette fois-ci, je ne l'ai pas trop compressé. Si bien, que le son ainsi que les images sont d'une qualité acceptables.

    Concernant l'image, je vous recommande particulièrement les demoiselles coquines qui apparaissent au moment du break. Je les trouve marrantes et craquantes.

    Espérant que vous passerez quelques minutes agréables,  GREYX


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    Ces derniers jours, comme peut-être certains d'entre vous, j'ai reçu dans ma messagerie, le mail suivant:

    " Salut,

    C K-Reen, oui je sais, pour certains d'entre vous ça fait un bail.…

    Je voulais faire un petit rappel pour ceux qui le savent déjà et avertir ceux qui ne le savent pas encore: mon 3ème album arrive !!!

    Vous pouvez écouter le 1er single sur mon MYSPACE, « Sauve le monde » et pour voir le clip c'est ICI.

    Venez aussi me rejoindre sur ma page FACEBOOK ou sur le SKYBLOG !

    A bientôt pour d’autres news !

    Peace

    K-Reen "

    PS : SAUVE LE MONDE déjà disponible en téléchargement légal sur

    ITUNES         VIRGIN

     

    Je profite donc pour publier un article de Wikipedia retraçant la carrière de K-Reen:

    Elle démarre sa carrière en tant que rappeuse et chanteuse dans le groupe Roostneg en 1993. Puis se lance dans une carriere solo, elle est considérée comme la pionnière du R&B français avec les titres de la compile Sensitive qui marque le début du R&B en France.

    Elle travaille dans le milieu des annees 90 avec Cercle Rouge Production (notamment White & Spirit, Kilomaître / Tefa & Masta, Mistik, 2Bal et le cinéaste Jean-François Richet, réalisateur de Ma 6-T va crack-er)

    K-Reen a chanté en duo avec Mc Solaar, Princess Erika, Ben J, Kamel Lancien, Ol'Kainry, Tunisiano, NessBeal, TLF, L'Skadrill, Fabe, Koma, Grodash, Saian Supa Crew,Def Bond, Fonky Famoly, Lââm ou Oxmo Puccino.et ShuriK'N et Akhenaton et Freeman et Daddy Nuttea.

    Considérée comme une pionnière, surnommée Diva du Hip Hop Soul et citée en référence par beaucoup d’artistes, K‐Reen grandit à Créteil en région parisienne, auprès de sa mère infirmière qui élève seule ses quatre enfants dont elle est la cadette. Petite, K‐Reen parle très peu, mais chante déjà beaucoup. Elle se sent à part de ses frères et sœurs avec qui elle ne partage pas le même père. La musique devient vite son refuge et elle rêve d’apprendre à jouer du piano. Chez elle, lorsqu’elle évoque ses rêves de devenir un jour une artiste de la chanson, personne ne prend ça très au sérieux. Sans formation musicale, K‐Reen commence quand même à imaginer des mélodies et écrit ses premières ébauches de chansons à l’âge de 13 ans. Elle est alors fan de Michaell Jackson et découvre Chakha Kan, Stevie Wonder, Whitney Houston, Prince mais aussi de Sidney et son émission HIP HOP. A 16 ans, avec rien de plus que ses rêves en tête, K‐Reen quitte le domicile familial pour affronter seule la réalité de la vie… Après un début d’indépendance plutôt difficile, K‐Reen s’offre un synthé avec l’argent de son premier job, sur lequel elle commencera à composer de vraies chansons. En autodidacte, elle trouve les clefs de son univers musical, invente sa propre logique de création, décompose les harmonies et expérimente la programmation. Puis son destin prend un tournant en 1992 lorsqu’elle croise le chemin de NOB et Manifeste avec qui elle forme le groupe Roostneg. Dans le groupe, K‐Reen chante et rap. Ensemble ils iront partout où on leur laisse l’occasion de prendre un micro. Ils enflamment les scènes de Paris et de sa région et restent encore aujourd’hui un groupe de rap emblématique du début des années 1990. Mais avec sa voix et son charisme, K‐Reen se fait remarquer. Elle devient alors très sollicitée et commence à collaborer avec Princess Erika, Mc Solaar, Lokua Kanza, Tonton David… En 1994, elle chante plusieurs titres sur la compilation Sensitive qui marque les premiers pas du RnB français et devient la voix féminine incontournable de ce mouvement musical qui vivra dans l’ombre tout au long des années 1990. Elle enchaîne les tubes avec Oxmo Puccino, Shurik’N, Neg Marrons, sur « Choisis » avec Fabe produit par Cut Killer. Les hits "Tu me plais" en duo avec Def Bond sur la B.O.F de Taxi et "Le fruit défendu" avec Mystik en 2001 la révèlent au grand public. En 1998, K‐Reen sort un premier album éponyme produit par Cutee B. L’album rencontre un beau succès d’estime et est aujourd’hui considéré comme un classique très recherché par les amateurs du genre. En 2001, K‐Reen dirige, écrit et compose son deuxième album R&B ,"Dimension", qui sort chez Tréma. Après quelques années de silence où elle répondra quand même présente aux invitations, elle décide, en 2006, de monter son propre label Astrad Music, tout simplement comme un prolongement logique de son parcours, et ainsi mettre à profit pour de jeunes artistes son expérience et sa très grande productivité. Elle lance, entre autres, le jeune Mike Kenli et son succès "Laisse moi une chance", signe des titres sur les albums d'Anggun, Kery James ou encore Mélissa M dont le tube "Cette Fois". Tout au long de sa carrière, K‐Reen a su imposer son style, et si certains ont pu penser qu’elle n’était qu’une chanteuse de studio, ceux l’ayant vu un jour sur scène peuvent témoigner de ses performances remarquables, de son charisme mais aussi de cette générosité et de cette sensibilité qui font d’elle une grande artiste. K‐Reen a su également garder le respect de la rue tout en touchant les amateurs de belles voix et de belles chansons. Tous dans le métier reconnaissent son réel talent de mélodiste, son sens imparable du refrain et son approche éblouissante de l’harmonie.


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