• Reportage sur ARCTIC MONKEYS

     

     

                                                   

     

    Dans le cadre d'un parallèle que j'ai voulu faire concernant le succès monumental de deux groupes de très jeunes artistes : l'un Allemand " TOKIO HOTEL ", l'autre Britanique " ARCTIC MONKEYS " je vous propose ce soir un reportage sur ce deuxième groupe " ARCTIC MONKEYS ". 

     

    Artistes de l'année 2006, et sans doute aussi de 2007, les petits prodiges ARCTIC MONKEYS ont transformé en or tout ce qu'ils touchaient avec leur premier album " Whatever people say I am, That's what I'm not " : petit rappel des faits, petit prévisionnel d'effets.

     

    Année 2002, High green, dans la région de Sheffield dans le nord de l'Angleterre: Alex TURNER joint sa guitare à celle de Jamie COOK, à la basse d'Andy NICHOLSON et à la batterie de Matt HELDERS. Le groupe d'indie rock qui célèbrera le mieux le revival du punk, à peine quelques mois plus tard vient d'être fondé. Le 13 Juin 2003, les Arctic Monkeys ( dont l'origine du nom est toujours inconnue, malgré l'existence de plusieurs versions ) donnent leur premier concert au club The Grapes, dans le centre ville.

     

    Le public est immédiatement séduit, et cet engouement ne fait que s'amplifier au fil des lives. Du coup, le quatuor, en dehors de toute logique mercantile, presse ses premières demos pour pouvoir les distribuer et répondre ainsi à la demande de ses fans, qui s'empressent de les encoder pour les diffuser sur le Web. C'est ainsi que les directeurs artistiques des labels ont très vite la puce à l'oreille. En 2005, Alex, Jamie, Andy et Matt signent leur contrat avec le célèbre label Domino. Le premier single " Five minutes with Arctic Monkeys " est déjà collector, et une video live " Fake tales of San Francisco " circule déjà quand le premier single commercialisé  " I bet you look good on the dance floor " met le feu à toutes les enceintes du royaume, en Octobre 2005. Ce succès est renouvelé avec le second single " When the sun goes down ". En Janvier 2006, sort enfin le plus que très attendu premier album des Arctic Monkeys, qui porte également l'un des meilleurs titres de la décennie " Whatever people say I am, that's what I'm not " ( traduction : quoiqu'on te dise me concernant, c'est faux ), voilà grosso modo l'affirmation que le groupe brandit en étendard, se réservant le droit de ne jamais être là où on l'attend. Ce disque bat tous les records : celui de la vitesse des ventes ( 363735 copies partant dès la première semaine de commercialisation en Angleterre ); celui du nombre de récompenses attribuées dans le monde, avec le très prestigieux Mercury Prize et deux Brit Awards pour ouvrir la valse des festivités.

     

    Suite du reportage la semaine prochaine ......

     

    Source :  revue spécialisée Rock Touch en vente chez votre marchand de journaux ( pour reprendre la formule consacrée )  


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