• Interview TOKIO HOTEL ( suite et fin )

     

     

                                               

    Interview accordée par TOKIO HOTEL à ROCK TOUCH ( revue spécialisée Pop-Rock, en vente chez votre libraire et bourrée d'excellents articles sur les artistes que vous aimez )

     

    ROCK TOUCH : Comment avez-vous vécu l'année qui vient de s'écouler ?

    Bill : C'est une année qui est passée beaucoup trop vite, une année qu'on n'oubliera jamais. Nous avons pu réaliser nos rêves les plus fous. Nopus préférons ne pas trop y penser car nous risquerions de nous étendre et nous reposer dessus, et nous oublierions de continuer !

     

    Vous aviez dit après la tournée de Schrei que vous reprendriez peut-être vos études. j'imagine que c'est manqué ....

    Bill : Un jour, ça viendra. Pour l'instant, c'est impossible car nous avons beaucoup de choses à faire, surtout depuis que nous avons du succès dans d'autres pays que l'Allemagne. C'est quelque chose que nous ne voulons pas perdre de vue car c'est important de passer le Bac. On le fera un jour quand tout çà se sera calmé.

     

    On parle beaucoup de votre look. Finalement, quelle importance a-t-il réellement pour vous ?

    Bill : C'est un ensemble. A travers le look, la façon de marcher, l'attitude, on découvre la personnalité des gens. Notre style vient aussi de la musique que nous faisons et que nous écoutons. Je ne dissocierai pas notre image du reste de notre travail.

     

    L'avez-vous construit pendant la formation du groupe ou l'aviez-vous déjà avant ?

    Tom : Bien sûr, chacun s'est développé, mais quand on regarde les vieilles photos d'il y a cinq ou six ans, on s'aperçoit que notre style était déjà là. J'ai toujours eu des dreadlocks, depuis que je suis en âge de m'en faire.

    Bill : Je ne me rappelles même plus quelle tête tu avais avant ... ( rires )

     

    Qu'est-ce que vous ressentez quand vous voyez des jeunes filles ou des jeunes garçons qui vous ressemblent ?

    Bill : ça nous fait très plaisir, évidemment. C'est un rêve de faire un concert devant des gens qui se sentent suffisamment proches de nous pour vouloir nous ressembler. Bien sûr, c'est important que chacun trouve son propre style, sa propre voie. Mais je suis heureux de voir que nos fans sont si passionnés. 

     

    Est-ce parfois pesant de ne plus pouvoir faire un pas dehors en France ou en Allemagne ?

    Tom : C'est génial de voir tous ces fans qui nous attendent. Au début, quand nous venions en France, nous ne comprenions pas bien pourquoi tout ce public voulait nous voir, à la sortie de l'Hotel, par exemple. La première fois que nous sommes venus à Paris, nous étions avec nos parents qui nous montraient la ville. Maintenant, nous venons sans eux et nous sommes attendus à chaque coin de rue. C'est un sentiment bizarre mais, ça nous rend heureux.

    Georges : Peu importe dans quelle ville on se rend, on a toujours l'impression d'être chez soi. C'est vraiment très agréable.

    Ne retirez-vous que du positif de cette situation ?

    Bill : Bien  sûr, il faut reconnaître que cela donne parfois des limites à notre liberté, dans notre vie privée. En Allemagne, à chaque pas, nous sommes poursuivis pas des journalistes et des photographes. Tout ce que nous faisons est détaillé dans les magazines. Notre adolescence s'est déroulée sous les yeux du public, ce ne sont pas des conditions banales pour grandir. Mais maintenant, c'est quelque chose à laquelle nous nous sommes habitués. Et puis pour être sincère, au final, les avantages de cette vie sont beaucoup plus importants que ses inconvénients.


    Sur Schrei, vous avez travaillé avec des pros pour structurer vos chansons. Maintenant que vous avez l'expérience, avez-vous renouvelé cette collaboration sur l'album Zimmer 483 ? 

    Nous nous entendons très bien avec eux. Nous avons la même motivation en ce qui concerne la musique. C'est aussi une question de confiance. Quand on connaît les gens avec lesquels on travaille, on a confiance en eux. Cela a rendu l'écrire des chansons plus simple et plus évidente. Si nous aviEn fait, on a gardé la même équipe, le même studio d'enregistrement et la même maison de disques car nous nous enteons collaboré avec une autre équipe, dans un nouveau studio, nous n'aurions pas été aussi détendus car nous aurions dû apprendre une façon différente de travailler. C'était le meilleur choix pour Zimmer 483 ....

     

    Ecrire les textes en Allemand, c'est une évidence, malgré votre succès international ?

    Oui, c'est important pour nous de continuer à écrire dans notre langue maternelle. Cela fait partie de l'attrait et de la personnalité de Tokio Hotel. Nous n'aurions jamais cru avoir un tel succès en dehors de nos frontières. Même si nous avons des chansons en Anglais et que nous continuons sans doute à proposer des versions Anglaises de nos titres, la base de nos chansons sera toujours écrite en Allemand.

     

     

     

     

     


  • Commentaires

    1
    Chouffa62
    Mardi 9 Août 2011 à 10:44
    Bonjour à toi mon ami je viens de voir l'article ,Tokio Hotel et comme je cherchais justement un article sur ce groupe génial me permet tu de prendre un petit texte, j'ai une image et je peux aussi faire des recherches sur internet .je t'embrasse et bonne journée en atendant de tes nouvelles.Monique
      • Mardi 9 Août 2011 à 11:12
        Bonjour Monique. Tu peux prendre tout ce qui pourra t'être utile. Sur mes blogs, je n'ai jamais condamné le clic droit donc, les visiteurs peuvent donc se servir. C'est çà le partage sur Internet. Je te souhaite une agréable journée. Je t'embrasse. Michel
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