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    Ibiza, l'île blanche, est la plus méridionale des îles Baléares. Elle n'a pas attendu les hippies pour être à la mode. Depuis les Carthaginois, elle ne cesse de séduire. Elle est la troisième, par la taille de l'archipel et a de tout temps attiré la convoitise des marins et suscité l'émotion de tous ceux qui découvrent sa silhouette blanche depuis la mer.

     

    Ibiza, c'est l'île aux deux visages: la sérénité du jour où l'apparence n'a aucune importance se métamporphose, la nuit, en excentricité animée par les actrices à la mode, les sportifs de renom, les curieux, les escrocs, les voyeurs.
    Ibiza est l'île du repos et de la tranquilité, le jour, avec ses villages pittoresques et ses criques tranquilles,
    ses côtes rocheuses escarpées, ses baies (calas) d'eau cristalline, ses collines parsemées de pins, ses petites maisons carrées et toutes blanches.
    Ibiza est l'île de la tentation,la nuit: elle est réputée pour être le paradis des noctambules, le point de rencontre de la 'jet set'.
    Ibiza est très animée dans sa vie nocturne pétillante dans le vieux centre d'Eivissa ou du côté de San Antonio, avec ses bars, restaurants et ses discothèques.

     

    LE JOUR :                        

    Ibiza offre un excellent exemple d'interaction entre les écosystèmes marins et côtiers. Les prairies denses de posidonies (herbe des fonds marins), espèce endémique que l'on trouve uniquement dans le bassin méditerranéen, contiennent et entretiennent une vie marine diverse. Ibiza conserve des témoignages considérables de sa longue histoire. Les sites archéologiques de Sa Caleta (habitat) et de Puig des Molins (nécropole) témoignent de l'importance du rôle joué par l'île dans l'économie méditerranéenne de la protohistoire et, tout particulièrement, au cours de la période phénicienne-carthaginoise. La ville haute fortifiée (Alta Vila) est un exemple exceptionnel d'architecture militaire de la Renaissance. Elle a eu une profonde influence sur le développement des fortifications dans les établissements espagnols du Nouveau Monde.

     

    La Ville Haute d’Ibiza représente un excellent exemple d'acropole fortifiée qui conserve de manière exceptionnelle la stratification, dans les murailles et dans le tissu urbain, des premiers établissements phéniciens, des périodes arabes et catalanes, jusqu'aux bastions de la Renaissance. Cette dernière phase d'un long processus de construction des murs d'enceinte n'a pas détruit, mais a incorporé, les phases antérieures et la trame urbaine.

     

    LA NUIT :            

     

    Les nuits d'Ibiza sont différentes, colorées et spectaculaires. Après une journée de plage, de soleil ou après avoir parcouru les sites les plus séduisants de sa géographie sauvage, il faut se préparer à vivre ses nuits magiques.
    L'itinéraire nocturne démarre dans la zone du port d'Eivissa
    ou dans le West end de San Antonio, en passant par la promenade Juan Carlos I ou la zone touristique de Platja d'En Bossa, pour terminer dans les discothèques géantes dans lesquelles s'est élaboré le terme de "son d'Ibiza".
    Dans I'île, arrivent chaque année les disc-jockeys les plus célèbres du monde pour passer leur propres thèmes ou leur remixes.

     

    En hiver, ce sont les DJ's étoiles des discothèques ibicencas qui amènent leur musique aux clubs d'avant-garde d 'Israël, New York, Tokio, Singapour ou d'Australie.
    La fête de la mousse ou celle qui le lundi concentre plus de 8.000 personnes dans les discothèques les plus connues d'Ibiza pour lesquelles s'affrètent des bateaux depuis la péninsule et des avions depuis l'Angleterre avec pour seul but de s'immerger dans ce tourbillon de fête, de diversions, de musique, de mode
    La nuit n'en finit jamais dans cette île. Les after hours ouvrent leurs portes à six heures du matin et ferment après midi, mais la fête continue dans les bars musicaux sur la plage.

     


     


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  • Bonjour à toutes et à tous,

     

    Aujourd'hui, je vous propose une interview de Borey SOK ( ancien de Skyrock et Warner France ) réalisée par Arnaud Devillard pour 01Net. J'ai trouvé cette interview intéressante car son contenu prouve que, même sans gros moyens, on peut réussir lorsque l'on a de l'imagination.

     

    01net. : En ce moment, l'industrie du disque relance l'offensive judiciaire contre la piraterie sur Internet. A-t-elle renoncé à explorer de nouvelles pistes de développement de la musique ?



    Borey Sok : Les maisons de disques ne se concentrent pas assez sur ce qui importe avec Internet : la recherche et le développement. Elles envoient des vidéos promotionnelles sur YouTube ou sur Dailymotion, mais ça ne suffit pas. Cela ne relève pas d'une stratégie à long terme.

    Cela dit, elles se sont intéressées aux NTIC [nouvelles technologies de l'information et de la communication, NDLR], notamment le MP3, comme Sony BMG qui avait cherché à exploiter ce format. Mais il y avait une multitude d'interlocuteurs, c'était difficile de trouver un compromis, cela a pris du temps. Trop de temps, car finalement, le MP3 s'est retrouvé partout sur le peer to peer.

     

    Dans votre livre, vous évoquez beaucoup d'initiatives marketing d'artistes, de sites ou de labels. Mais est-ce que cela va au-delà de la simple expérience ?

    Non, on n'en est vraiment qu'au stade de l'expérience. Les maisons de disques ont encore trop le réflexe de s'adresser aux médias traditionnels pour leur promotion. Or, c'est une logique de mass-média. Sur TF1, quand vous passez un spot, c'est du « push » : vous n'avez pas de retour. Sur Internet, et c'est ce qui fait sa force, on peut nouer une interaction avec les fans. La relation peut être plus qualitative.

     

    Justement, on a pu voir plusieurs opérations impliquant les internautes : un concours de pochettes pour les albums de Diam's ou de Janet Jackson, le marketing viral de l'album de Lily Allen assuré par les internautes, etc. Peut-on parler de nouvelle stratégie ?

    Le problème, avec ces petites opérations, c'est que, du jour au lendemain, c'est terminé. A l'époque du seul CD physique, les maisons de disques pouvaient se permettre de jouer sur la rareté des contenus, sur l'inaccessibilité de l'artiste. Vous ne pouviez accéder à son univers sans acheter le CD. Avec Internet, ça ne marche pas : le nombre de fichiers est démultiplié. Les maisons de disques ne l'ont pas encore compris.

    Sur Internet, plus on donne aux fans, plus on obtient en retour. Et il existe les outils informatiques pour ça. Les blogs, les flux RSS ou un système comme Twitter qui permet d'envoyer des messages à toute une communauté par SMS. Vous n'avez même plus besoin d'être connecté à Internet pour être lié à vos fans.

     

    Entre le moment où vous avez commencé votre livre et maintenant, y a-t-il du nouveau ?

    Les réseaux sociaux se sont considérablement développés. Last.FM ou Pandora sont des sites basés sur des recommandations d'internautes et qui fonctionnent extrêmement bien. L'internaute devient beaucoup plus crédible que n'importe quel magazine musical ou n'importe quel média. Il fait un travail que n'ont pas fait les maisons de disques, un travail d'éducation à l'écoute de la musique.

     

    Quelles initiatives vous ont le plus étonné ?

    Je pense à Jonathan Coulton. C'était un informaticien et, du jour au lendemain, il a donné sa démission et s'est mis à la musique. Toutes les semaines [entre septembre 2005 et septembre 2006, NDLR], il créait un nouveau morceau et le mettait en vente sur son site Internet. Il s'est retrouvé à gagner entre 3 000 et 5 000 dollars par mois. Mais c'est un cas particulier, qui ne marche pas pour tous les artistes.

    Et puis il y a Terra Naomi, qui a reçu un YouTube Award en 2006. C'est encore la belle histoire de la chanteuse qui fait du buzz, mais cela va plus loin.

    Elle s'est dit : « J'ai des fans, mais pas les moyens de me payer une tournée, je ne vais peut-être pas remplir des salles, puisque les fans sont nombreux mais partout dans le monde. » D'où une tournée virtuelle : toutes les semaines, elle se filmait en train de jouer, chez elle ! Elle a fait son disque comme ça, et l'a distribué en VPC [vente par correspondance] et en numérique. Elle a vendu 3 000 CD la première semaine, elle a été repérée par Neil Young qui l'a appelée pour faire des choeurs.

     

    Est-ce la fin des maisons de disques ?

    Je ne suis pas un anti-label. Quand on dit qu'un artiste n'a plus besoin d'un label, je pense que c'est faux. La carrière d'un artiste a des aspects financiers et marketing, il faut une organisation humaine, une structure. Un artiste ne peut pas passer son temps à faire sa promotion. Les maisons de disques sont une nécessité.

     

     Source de cet article:  01Net


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  • Bonsoir à toutes et à tous,

     

    J'ai découvert aujourd'hui que mon blog comportait une option permettant l'envoi de Newsletters. Par la même occasion, j'ai également découvert qu'il y avait des visiteurs qui s'étaient incrits à cette Newsletter du Carrefour des Mix. Ces personnes ont dû se dire que je n'étais pas très bavard ou que mon blog avait sombré corps et âme. Je m'en excuse auprès d'eux.

     

    Donc, ce soir, j'ai fait partir ma première Letter. Si certain(e)s d'entre vous sont intéressés par ces petits messages que j'enverrai pour vous tenir informés des nouveautés ou nouvelles orientations du site, je vous invite à vous inscrire à ma Newsletter. Rassurez-vous, je n'inonderai pas votre boîte de messages. Ce sera seulement quelques messages entre amis environ 1 à 2 fois par mois. Alors, peut-être à bientôt ... 

     

                                       Bien amicalement,        Michael GREYX 

     

     


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