La meilleure façon de vous présenter le dernier titre de Maoris, c'est tout simplement de vous faire part du commentaire que je lui ai adressé hier soir sur le forum Afterhouse:

Bonsoir Maoris,

Je ne sous-estime jamais les morceaux d'un compositeur qui se déclare " actuellement en panne d'inspiration " car ils sont assez souvent d'une grande qualité. C'est le cas de ce morceau " Dark so dark ".

A la deuxième écoute, j'ai basculé tout d'un coup en 2019 dans un Los Angeles d'une Terre viciée à cause de guerres radioactives qui ont anéanti la quasi-totalité de la faune et de la flore de la planète.

Les gouvernements terriens encouragent très fortement l'exil vers Mars qui est en cours de colonisation. Pour favoriser les départs, ceux-ci offrent gracieusement un « robot androïde à tout faire » à toutes les personnes qui s'exilent. Ces androïdes sont appelés « réplicants » et sont plus ou moins considérés comme des esclaves modernes. Ils sont aussi utilisés dans les travaux pénibles ou dangereux, comme objets de plaisirs ou dans les forces armées.

Les réplicants sont créés par une seule puissante firme qui est à la fois riche, puissante et influente. Après une révolte sanglante des réplicants dans une colonie martienne, ces derniers sont alors interdits sur Terre. Toutefois, certains réussissent à s'enfuir et à regagner la Terre pour retrouver leurs créateurs et les obliger à rectifier leur caractère génétique qui les limite à une durée de vie de quatre à cinq ans au plus.

Les unités policières sont là pour faire respecter la loi aux contrevenants androïdes. Ils ont donc l'autorisation de tuer n'importe quel réplicant en situation irrégulière. On n'appelle pas cela un meurtre mais un « retrait ». Chaque retrait donne droit à une prime substantielle pour le policier qui l'a effectué.

Bref, si tu connais le film, ta musique m'a fait plonger dans l'univers de " Blade runner " avec son atmosphère dark, glauque et ugly et le tout envelopé des grondements des FX . Donc Maoris, un grand bravo pour ce nouveau titre !!!  Je vous laisse découvrir ce dernier titre de Maoris. Bien amicalement,     Michael GREYX   

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