Les réseaux sociaux tels que Facebook, MySpace, Xanga, Cyword .... présentent des dangers. Les données personnelles vous concernant ainsi que les photos que vous y publiez peuvent être utilisées à votre détriment par des interlocuteurs ou fournisseurs de votre vie privée. En principe, ils ne peuvent utiliser officiellement ces données ( hormis la justice qui peut les considérer comme des présomptions d'innocence ou de culpabilité ), mais peuvent par contre, vous causer bien des désagréments. ( GREYX ) Voir exemple ci-dessous:

En arrêt maladie longue durée pour cause de dépression, une québécoise affirme que sa compagnie d'assurances a suspendu les indemnités qu'elle lui versait au motif qu'elle aurait remarqué des photos publiées par l'intermédiaire de Facebook sur lesquelles la jeune femme faisait la fête ou bronzait sur une plage. Constatant la fin des versements, Nathalie Blanchard, 29 ans, est alors entrée en contact avec son assurance, Manuvie, qui lui aurait répondu que la prestation pour invalidité dont elle bénéficiait n'avait plus lieu d'être, puisque la jeune femme donnait sur son profil Facebook tous les signes d'une vie épanouie.

L'assureur n'a pour l'instant pas commenté cette affaire. Dans un communiqué adressé à CBC News, il affirme toutefois qu'il ne prend pas de décisions concernant ses clients sur la seule base d'informations publiées sur des réseaux sociaux, tout en confessant les utiliser pour enrichir le dossier de ses clients.

Article d'Alexandre Laurent  http://www.bonweb.fr

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Il y a quelques jours, je publiais sur le Carrefour des Mix, un article annonçant une distribution, par Mailorama.fr, d'enveloppes contenant de 50 à 500€. Et bien, finalement cette distribution n'a pas eu lieu. Ont suivi bien entendu, les réactions que l'on peut facilement imaginer dans un tel cas.

Dans le premier communiqué de presse paru dès l'annonce de l'annulation, la décision d'annuler la distribution incombait entièrement au Président de Rentabiliweb, maison mère du site Internet Mailorama.fr. Mais lorsque l'on relit les communiqués de presse annonçant la distribution, on peut se demander si le Président de Rentabiliweb n'a pas aidé par la Préfecture de police dans sa prise de décision. Ne lui aurait-on pas un peu forcé la main?

Si c'est le cas, le ministère de l'intérieur et la préfecture de police auraient dû se comporter d'une façon moins hypocrite et, invoquant le risque de trouble de l'ordre public aurait dû interdire purement et simplement cette opération publicitaire ( ils savent bien interdire certaines manifestations ).

Enfin, visiblement, le verdict est tombé :  la responsabilité de l'émeute qui a eu lieu incombe uniquement à la société organisatrice et non à l'état et son gouvernement qui comme d'hab, s'en sortiront blancs comme neige. Ils craignaient le pire ..... ils flairaient les risques de trouble ...... vu la vitesse du vent prévue pour ce Samedi qui par ailleurs se situe entre 2 pleines lunes (), il fallait interdire cet évènement ...... mais, ils ne l'ont pas fait et, c'est très triste car, dans ce cas, il fallait prendre toutes les mesures nécessaires au bon déroulement de l'opération !!

A la place du gouvernement, je m'interrogerais sur les causes des réactions aussi violentes de ces personnes (essentiellement des jeunes ) qui espéraient toucher un peu d'argent.

S'agissait-il d'anarchistes, de désoeuvrés, de gens " pas tout à fait Français ", de sans culottes s'étant trompés d'époque? de personnes croyant qu'il s'agissait d'une séance de vaccination gratuite contre la grippe H1/N1  ou bien tout simplement, de personnes en difficulté financière qui espéraient ainsi obtenir un peu d'argent? Je vous laisse le soin de trancher ......

En conclusion, je dirai que certes, ce genre d'évènement est très triste mais, n'y a-t-il pas un problème de fond dans cette société où tout est basé sur l'argent, dans cette société qui comporte de plus en plus d'exclus du système et dans laquelle depuis quelques temps, tout est prétexte à des montées de violence?

Mais rassurez-vous, bonnes gens, il y a eu quelques coups de matraque, une poignée d'interpellations et tout est rentré dans l'ordre!  Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. 

GREYX

En France, on est vraiment les champions de la prise de tête. Voilà l'affaire qui fait actuellement couler beaucoup d'encre, de salive et même de venin : Mailorama.fr, un site pratiquant le cash-back a prévu dans le cadre de sa campagne de promotion de distribuer aux passants dans Paris, des bourses contenant entre 5 et 500€ et ce, SANS CONTREPARTIE !!  Alors, levée de boucliers: Jacques Seguela publiciste, la Préfecture de police et certaines associations de consommateurs s'émeuvent. Soyons sérieux!  Jacques Seguela se serait-il autant indigné si Mailorama lui avait versé la même somme pour mener une campagne de publicité traditionnelle?  La Préfecture de police se pose-t-elle le même cas de conscience lorsque ses fonctionnaires nous délestent de sommes rondelettes lorqu'ils nous dressent des PV?  Et enfin, les associations de consommateurs ne devraient-elles pas s'attaquer aux distributeurs qui s'engraissent ( discrètement ) sans redonner le moindre cent au consommateur ( il est vrai que ces derniers ne perturbent pas l'ordre public et ne semblent pas susciter des questions de morale ??? ). Vous souhaitant d'empocher l'une de ces bourses, bien amicalement.      GREYX   

A peine annoncée, l'opération marketing suscite déjà la polémique. Mailorama.fr, un site de cash-back (système qui vise à reverser de l'argent aux consommateurs en fonction de leurs achats) a annoncé qu'il allait distribuer le 14 novembre prochain plusieurs dizaines de milliers d'euros en plein Paris. Et ce, sans contrepartie.

Un bus aux couleurs de la société sillonnera la Capitale pour offrir aux passants 5 000 bourses contenant chacune entre 5 et 500 euros. Trois arrêts sont prévus. Tenus secrets jusque-là, ils seront dévoilés 48 heures avant l'événement dans la presse nationale et par communiqué de presse.

D'un point de vue marketing, l'opération est déjà un succès puisque, tant la Toile que la presse s'en sont fait écho. Certains ténors de la publicité sont même montés au créneau, comme Jacques Séguéla hier sur l'antenne de BFM TV (1). L'ancien gourou de François Mitterrand a jugé « l'événement indigne de la France ».

Réussite marketing

Chez Mailorama, on se défend. « Nous préférons distribuer de l'argent dans la rue plutôt que de le donner à Jacques Séguéla pour faire une campagne traditionnelle. Il ne s'agit pas d'une opération d'étudiants, plusieurs centaines de milliers d'euros ont été investis au total dans ce plan marketing d'un nouveau genre. La guerilla marketing applique des méthodes non conventionnelles pour faire connaître un produit », répond Stéphane Boukris, responsable de l'opération pour Mailorama.

L'événement n'aurait pas pour dessein de faire uniquement un coup marketing, mais de faire connaître le cash-back, ce système qui vise à reverser de l'argent aux consommateurs et aux internautes en fonction de leurs achats.

Le jeune homme à l'origine de la manœuvre n'en est pas à ses premières armes en matière de polémique. Il y a quelques mois, Stéphane Boukris s'était fait connaître pour avoir lancé Faismesdevoirs.com. Désormais clos, le site Internet proposait aux élèves de faire faire leur exposés ou dissertations par des professionnels de l'enseignement contre rémunération.

Trouble de l'ordre public ?

La préfecture de police a indiqué qu'elle « étudiait avec attention le risque de trouble de l'ordre public que pourrait représenter cette distribution d'argent qu'elle s'était saisie de la question juridique en étudiant la légalité de ces pratiques inédites à (sa) connaissance dans les rues de Paris », rapporte l'AFP.

De son côté Stéphane Boukris assure que toutes les précautions ont été prises tant au niveau légal que de la sécurité : « Nous mettrons en place un dispositif impressionnant.  Une dizaine de vigiles seront présents et ils pourront à tout moment trouver le soutien d'une force mobile. Nous voulons que cet événement se passe dans un esprit bon enfant ».

Sur la question morale soulevée par certaines associations de consommateurs, Mailorama fait savoir qu'une somme équivalente à celle distribuée aux badauds (non précisée) sera reversée au Secours populaire.

Source de l'article : 01net